LA COLERE DU FONDS D'AIDE A LA CULTURE, SUITE A MA DECLARATION DANS LE QUOTIDIEN NORD SUD.
Voici ce que j'ai dit et qui a été publié par le quotidien nord-sud n°175 du mardi 16 février 2010
"Je pense qu'il faut assainir l'environnement de gestion du milliard culturel. Il faut assainir le fonds d'aide à la culture. Il faut assainir le ministère de la culture. Je suis très amère parce que j'ai saisi, personnellement le ministre Galiou Soglo pour lui demander de faire un audit sur la gestion du milliard culturel. J'ai saissi aussi en son temps le ministre Toléba pour dire, qu'à la fin de ce milliard culturel; il faut organiser un audit pour voit qu'est-ce qui a été fait, quels sont les projets qui ont été financés et quels sont leurs impacts sur la vie du contribuable béninois dont c'est l'argent. On ne m'a pas écouté; aucun des deux ministres ne m'a accordé la mondre attention. Bien plus, rien n'a été fait. Il n'y a pas eu d'audit. Le premier milliard est jeté comme ça en l'air. Des gens se sont crés des associations partout et se sont tapés de l'argent alors que les méritants, les travailleurs mêmes de la chose culturelle sont là. On les oppose à des procédures chiantes....Les projets culturels ont de la peine à démarrer. on ne vois pas ce qui est financé par le milliard culturel. On n'en entend parler nulle part. On n'en entend parler que de la bouche de la directrice du fonds, de ces collaborateurs et de ces courtisans. Je suis amerement déçu; je pense qu'à cette allure, le pouvoir qui a eu le courage politique de mettre à disposition le milliard culturel finira par dire, j'arrête! Et on deviendra quoi?" FIN DE CITATION.
Voici ce que j'ai dit et qui a été publié par le quotidien nord-sud n°175 du mardi 16 février 2010
"Je pense qu'il faut assainir l'environnement de gestion du milliard culturel. Il faut assainir le fonds d'aide à la culture. Il faut assainir le ministère de la culture. Je suis très amère parce que j'ai saisi, personnellement le ministre Galiou Soglo pour lui demander de faire un audit sur la gestion du milliard culturel. J'ai saissi aussi en son temps le ministre Toléba pour dire, qu'à la fin de ce milliard culturel; il faut organiser un audit pour voit qu'est-ce qui a été fait, quels sont les projets qui ont été financés et quels sont leurs impacts sur la vie du contribuable béninois dont c'est l'argent. On ne m'a pas écouté; aucun des deux ministres ne m'a accordé la mondre attention. Bien plus, rien n'a été fait. Il n'y a pas eu d'audit. Le premier milliard est jeté comme ça en l'air. Des gens se sont crés des associations partout et se sont tapés de l'argent alors que les méritants, les travailleurs mêmes de la chose culturelle sont là. On les oppose à des procédures chiantes....Les projets culturels ont de la peine à démarrer. on ne vois pas ce qui est financé par le milliard culturel. On n'en entend parler nulle part. On n'en entend parler que de la bouche de la directrice du fonds, de ces collaborateurs et de ces courtisans. Je suis amerement déçu; je pense qu'à cette allure, le pouvoir qui a eu le courage politique de mettre à disposition le milliard culturel finira par dire, j'arrête! Et on deviendra quoi?" FIN DE CITATION.
QUELQUES JOURS APRES, J'AI RECU UN APPEL D'UN MEMBRE DU CONSEIL:
"ALLO! ISIDORE, C'EST MOI, BONA! J'AI UN JOURNAL DEVANT MOI AVEC UNE DECLARATION DE TOI ET JE VOULAIS M'ASSURER QUE TU AS VRAIMENT DIT CA"
"QUEL EST CE JOURNAL ET C'EST QUOI COMME PROPOS?
" C'EST LE JOURNAL NORD SUD OU TU AURAIS DECLARE QUE TU NE VOIS PAS CE QUI EST FINANCE SUR LE TERRAIN. EST-CE VRAI QUE C'EST DE TOI?
"D'ABORD, C'EST PARCE QUE C'EST BIEN DE VOUS QU'IL S'AGIT QUE JE VOUS FAIT LA POLITESSE DE VOUS REPONDRE; AUTREMENT J'AURAIS ENVOYE QUICONQUE PAITRE. CELA DIT? JE SUIS BIEN L'AUTEUR DE CES PROPOS ET SI LE FONDS D'AIDE PEUT, IL N'A QU'A PROUVER LE CONTRAIRE"
"OK! NOUS ON TIENT A REAGIR ET ON S'ASSURE QUE TU ES VRAIMENT L'AUTEUR DE CES PROPOS. CAR CERTAINS QUI REPONDU AUX QUESTIONX DU JOURNAL A CE MEME SUJET ONT DIT QUE LEURS PROPOS AURAIENT ETE DEFORMES QUAND NOUS LES AVONS APPROCHE. MAIS APPAREMMENT TEL N'EST PAS TON CAS.
"PAS DU TOUT JE ME RECONNAIS DANS LES PROPOS PUBLIES."
Depuis donc, la rumeur va bon train des menaces que les gens de cette institutions feraient planer sur moi, oh! que c'est marrant!