ET SI LES SOGLO NOUS COLLAIENT UN PEU LA PAIX ?
Voilà depuis bien des années que cette famille, la famille Soglo père, mère, fils et consorts nous embrigadent et s’en imposent à toute la République.
Les tribulations et névroses de dame Rosine SOGLO au parlement sont à deux doigts de déstabiliser le pays ; elle n’a d’égard pour personne dans le pays ni pour le président de la République ni pour ses collègues députés encore moins ceux de son groupe parlementaire. Son mari, le président soglo vivrait un vrai calvaire conjugal, pour ceux qui connaissent le couple. Les dérives verbales et les démonstrations de muscles de dame Soglo envers la nation toute entière ont fait dire à plus d’un, qu’elle ne doit pas bien se porter psychologiquement, psychiquement et mentalement. D’aucun ont supposé même que madame SOGLO souffrirait d’une forme bénigne de l’Alzheimer. Ce qui est sûr, mémé Rosine la septuagénaire et doyenne d’âge du parlement commence à se prendre pour le centre du Bénin ; le Dieu tout puissant des béninois et leur seul et unique sauveur. Grande perturbatrice des activités du parlement, elle se réclame de l’opposition au pouvoir actuel ; pourtant depuis trois ou quatre années, son fils Galiou est au gouvernement.
Le père Nicéphore SOGLO ancien président de la République et actuel maire de Cotonou a pour premier adjoint à la tête de la municipalité, le fils Lehady. Voilà comment cette famille nous bouffe la vie au Bénin. Malheureusement, ce ne sont pas des gens particulièrement compétents ni autrement intelligents; ils ne sont exceptionnels en rien ; ni dans la gestion ni dans les résultats. Mais ils sont parvenus depuis quelques décennies à monopoliser la sphère politique nationale et à se remplir les poches. L’expérience de la ville de Cotonou dirigée par le clan SOGLO est là ; aucune ville n’est encore à l’image de Cotonou en thème de propreté ; de gestion des conflits domaniaux…. .L’insalubrité galopante dans la ville; la ghettoïsation de la ville et de ses environs ; le prélèvement excessif de taxes exagérés et non justifiés au niveau des petits vendeurs et artisans ; la corruption outrancière érigée en mode d’administration de la ville ; le copinage et l’affairisme dans la passation des marchés font que malgré ses dix-huit milliards (18.000.000.000 F) de budget brassés tous les ans, Cotonou restera longtemps encore un gros village insalubre dans le Bénin. Les rares travaux réalisés dans la ville sont de mauvaise qualité en témoigne le caniveau à ciel ouvert qui passe par vêdokô jusqu’aux pavés de Sainte Rita ; l’ouvrage se remplit d’eau et qui déborde dans les maisons environnante dès la première pluie. Voilà dix ans que cette arnaque dure à la municipalité de Cotonou ; et les béninois ne sont pas assez intelligents pour remercier cette famille.
Le père, reconnu pour son calme depuis qu’il a perdu le pouvoir, présente de plus en plus les mêmes symptômes d’insolence, de condescendance, d’agressivité et de méchanceté gratuite que la mère.
En effet, après la marche des députés de l’opposition dirigée par Rosine sur la cour constitutionnelle le vendredi 18, c’est au tour du président-maire SOGLO Nicéphore de prendre la tête d’une importante marche de protestation contre la même institution le lundi 21 devant une foule immense de militants et de sympathisants en furie.
Cela ne devrait étonner personne que cette famille, quelques soient les raisons, en arrive à appeler à une marche de protestation sur la plus haute institution judiciaire du Bénin.
Ce n’est pas la première fois que les Soglo tentent de bloquer un processus électoral encours ou qu’ils refusent d’admettre les décisions de la cour:
En 2001, après le premier tour de la présidentielle de mars qui a propulsé les candidats KEREKOU et SOGLO au second, ce dernier se sentant battu à l’avance vu les tendances sur le terrain et le score de son rival, s’est brutalement désisté en criant à la fraude ; au tripatouillage ; à la magouille électorale. Son alter égo HOUNGBEDJI Adrien arrivé en troisième position s’est lui aussi désisté dénonçant la fraude et la partialité de la cour constitutionnelle et des autres organes impliqués dans l’organisation de la présidentielle.….
Qu’il nous souvienne aussi qu’alors que monsieur Soglo était président de la République, au terme des résultats d’une élection législative, ce monsieur a fait descendre ses partisans sur la cour constitutionnelle pour protestation, parce que l’institution a retiré à la formation politique du président un siège qu’elle croyait avoir gagné.
En 1996, le domicile d’un des sages de la cour, proche du président Soglo, a été mitraillé au motif qu’il est complice de l’opposition qui aurait acheté les membres de la cour à des milliards pour donner un résultat en défaveur du président.
Après le second tour de la présidentielle de mars 1996, le monde entier a vu avec quelle rage et quelle hargne monstrueuse et haineuse monsieur Soglo, vilipendant institutions et citoyens non acquis à sa cause, a tenté de s’accrocher au pouvoir…..
En somme, seuls ceux qui ne connaissent pas celle famille et leur agissement peuvent encore leur accorder quelque crédit ; c’est des gens très peu friands des décisions de justice qui ne les arrangent pas. C’est de vrais manipulateurs ; usurpateurs et récupérateurs ; des mauvais perdants en thème de décisions de justice.
Monsieur et madame SOGLO devront nous laisser en paix maintenant qu’ils ont fini de profiter du pays. Ce n’est pas la peine de vouloir tout détruire parce que plus aucun d’eux ne peut servir; le chaos après vous que vous envisagez est dangereux. C’est toujours pour exister politiquement et pour survivre financièrement que l’ancien président n’a pas eu froid aux yeux pour prendre la mairie de Cotonou mais depuis, il n’en fait rien de bien pour les Cotonois. Nos sous ne servivent jusque là qu’à soigner les maladies chroniques de monsieur et de madame, et à acheter des demeures luxueuses pour la famille. Arrêtez maintenant, nous vous prions ! vous nous avez assez sucé comme ça.
Voilà depuis bien des années que cette famille, la famille Soglo père, mère, fils et consorts nous embrigadent et s’en imposent à toute la République.
Les tribulations et névroses de dame Rosine SOGLO au parlement sont à deux doigts de déstabiliser le pays ; elle n’a d’égard pour personne dans le pays ni pour le président de la République ni pour ses collègues députés encore moins ceux de son groupe parlementaire. Son mari, le président soglo vivrait un vrai calvaire conjugal, pour ceux qui connaissent le couple. Les dérives verbales et les démonstrations de muscles de dame Soglo envers la nation toute entière ont fait dire à plus d’un, qu’elle ne doit pas bien se porter psychologiquement, psychiquement et mentalement. D’aucun ont supposé même que madame SOGLO souffrirait d’une forme bénigne de l’Alzheimer. Ce qui est sûr, mémé Rosine la septuagénaire et doyenne d’âge du parlement commence à se prendre pour le centre du Bénin ; le Dieu tout puissant des béninois et leur seul et unique sauveur. Grande perturbatrice des activités du parlement, elle se réclame de l’opposition au pouvoir actuel ; pourtant depuis trois ou quatre années, son fils Galiou est au gouvernement.
Le père Nicéphore SOGLO ancien président de la République et actuel maire de Cotonou a pour premier adjoint à la tête de la municipalité, le fils Lehady. Voilà comment cette famille nous bouffe la vie au Bénin. Malheureusement, ce ne sont pas des gens particulièrement compétents ni autrement intelligents; ils ne sont exceptionnels en rien ; ni dans la gestion ni dans les résultats. Mais ils sont parvenus depuis quelques décennies à monopoliser la sphère politique nationale et à se remplir les poches. L’expérience de la ville de Cotonou dirigée par le clan SOGLO est là ; aucune ville n’est encore à l’image de Cotonou en thème de propreté ; de gestion des conflits domaniaux…. .L’insalubrité galopante dans la ville; la ghettoïsation de la ville et de ses environs ; le prélèvement excessif de taxes exagérés et non justifiés au niveau des petits vendeurs et artisans ; la corruption outrancière érigée en mode d’administration de la ville ; le copinage et l’affairisme dans la passation des marchés font que malgré ses dix-huit milliards (18.000.000.000 F) de budget brassés tous les ans, Cotonou restera longtemps encore un gros village insalubre dans le Bénin. Les rares travaux réalisés dans la ville sont de mauvaise qualité en témoigne le caniveau à ciel ouvert qui passe par vêdokô jusqu’aux pavés de Sainte Rita ; l’ouvrage se remplit d’eau et qui déborde dans les maisons environnante dès la première pluie. Voilà dix ans que cette arnaque dure à la municipalité de Cotonou ; et les béninois ne sont pas assez intelligents pour remercier cette famille.
Le père, reconnu pour son calme depuis qu’il a perdu le pouvoir, présente de plus en plus les mêmes symptômes d’insolence, de condescendance, d’agressivité et de méchanceté gratuite que la mère.
En effet, après la marche des députés de l’opposition dirigée par Rosine sur la cour constitutionnelle le vendredi 18, c’est au tour du président-maire SOGLO Nicéphore de prendre la tête d’une importante marche de protestation contre la même institution le lundi 21 devant une foule immense de militants et de sympathisants en furie.
Cela ne devrait étonner personne que cette famille, quelques soient les raisons, en arrive à appeler à une marche de protestation sur la plus haute institution judiciaire du Bénin.
Ce n’est pas la première fois que les Soglo tentent de bloquer un processus électoral encours ou qu’ils refusent d’admettre les décisions de la cour:
En 2001, après le premier tour de la présidentielle de mars qui a propulsé les candidats KEREKOU et SOGLO au second, ce dernier se sentant battu à l’avance vu les tendances sur le terrain et le score de son rival, s’est brutalement désisté en criant à la fraude ; au tripatouillage ; à la magouille électorale. Son alter égo HOUNGBEDJI Adrien arrivé en troisième position s’est lui aussi désisté dénonçant la fraude et la partialité de la cour constitutionnelle et des autres organes impliqués dans l’organisation de la présidentielle.….
Qu’il nous souvienne aussi qu’alors que monsieur Soglo était président de la République, au terme des résultats d’une élection législative, ce monsieur a fait descendre ses partisans sur la cour constitutionnelle pour protestation, parce que l’institution a retiré à la formation politique du président un siège qu’elle croyait avoir gagné.
En 1996, le domicile d’un des sages de la cour, proche du président Soglo, a été mitraillé au motif qu’il est complice de l’opposition qui aurait acheté les membres de la cour à des milliards pour donner un résultat en défaveur du président.
Après le second tour de la présidentielle de mars 1996, le monde entier a vu avec quelle rage et quelle hargne monstrueuse et haineuse monsieur Soglo, vilipendant institutions et citoyens non acquis à sa cause, a tenté de s’accrocher au pouvoir…..
En somme, seuls ceux qui ne connaissent pas celle famille et leur agissement peuvent encore leur accorder quelque crédit ; c’est des gens très peu friands des décisions de justice qui ne les arrangent pas. C’est de vrais manipulateurs ; usurpateurs et récupérateurs ; des mauvais perdants en thème de décisions de justice.
Monsieur et madame SOGLO devront nous laisser en paix maintenant qu’ils ont fini de profiter du pays. Ce n’est pas la peine de vouloir tout détruire parce que plus aucun d’eux ne peut servir; le chaos après vous que vous envisagez est dangereux. C’est toujours pour exister politiquement et pour survivre financièrement que l’ancien président n’a pas eu froid aux yeux pour prendre la mairie de Cotonou mais depuis, il n’en fait rien de bien pour les Cotonois. Nos sous ne servivent jusque là qu’à soigner les maladies chroniques de monsieur et de madame, et à acheter des demeures luxueuses pour la famille. Arrêtez maintenant, nous vous prions ! vous nous avez assez sucé comme ça.