ITALIE: BERLUSCONI BIENTOT DEVANT LES TRIBUNAUX?
Le conseil Constitutionnel Italien vient d’invalider une loi d’immunité qui protégeait jusque là le Président du Conseil Italien depuis son retour aux affaires il y a plus d’an.
Les 15 juges ont estimé dans un communiqué au terme de leur séance de ce mercredi que cette loi violait le principe d’égalité de tous les citoyens italiens devant la justice.
Le conseil Constitutionnel Italien vient d’invalider une loi d’immunité qui protégeait jusque là le Président du Conseil Italien depuis son retour aux affaires il y a plus d’an.
Les 15 juges ont estimé dans un communiqué au terme de leur séance de ce mercredi que cette loi violait le principe d’égalité de tous les citoyens italiens devant la justice.
Monsieur Sylvio BERLUSCONI dans une annonce à la presse dénonce une décision politique et une justice de gauche ; il dit ne pas vouloir démissionner de ces fonctions ni se plier à quelque justice que ce soit.
Cette décision des juges du conseil constitutionnel relance certains procès à l’encontre du cavaliere :
L’affaire Mills : Monsieur Berlusconi est accusé d’avoir versé 600.000 dollars à son avocat britannique David Mills pour obtenir de faux témoignages en sa faveur ; l’avocat a été déjà condamné à plus de 4ans de prison ferme ; depuis le vote de cette loi par le conseil constitutionnel, ce sera le tour de Berlusconi d’aller s’expliquer devant la justice.
L’affaire de surfacturation des droits d’émissions télévisées par le groupe Mediaset, qui lui appartient.
En somme l’homme devrait se retrouver sur le banc des accusés pour quatre affaires toujours en cours devant les tribunaux.
Les jours à venir nous édifieront sur qui de Berlusconi ou le Conseil constitutionnel respecte la justice italienne.
Cette décision des juges du conseil constitutionnel relance certains procès à l’encontre du cavaliere :
L’affaire Mills : Monsieur Berlusconi est accusé d’avoir versé 600.000 dollars à son avocat britannique David Mills pour obtenir de faux témoignages en sa faveur ; l’avocat a été déjà condamné à plus de 4ans de prison ferme ; depuis le vote de cette loi par le conseil constitutionnel, ce sera le tour de Berlusconi d’aller s’expliquer devant la justice.
L’affaire de surfacturation des droits d’émissions télévisées par le groupe Mediaset, qui lui appartient.
En somme l’homme devrait se retrouver sur le banc des accusés pour quatre affaires toujours en cours devant les tribunaux.
Les jours à venir nous édifieront sur qui de Berlusconi ou le Conseil constitutionnel respecte la justice italienne.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire