AIMER OU NE PAS AIMER HITLER.
Le chantre de la provocation cinématographique, le danois Lars Van Trier est déclaré persona non grata au festival de cannes 2011, 64ème éditions. Alors que l’énigmatique réalisateur, apôtre des dérives cinématographiques de tous genres était en compétition officielle avec son film, il lui a été signifié par la direction du festival que l’homme n’était plus la bienvenue sur les lieux.
En cause, une seule phrase : « J’ai de la sympathie pour Hitler et le Nazisme».
C’est au cours d’une conférence de presse sur son film en compétition, MELANCHOLIA que le turbulent réalisateur, répondant à la question d’un des journalistes, a lâché le bout de phrase qui va finir par l’emporter tel un tsunami malgré « les excuses » auxquelles le créateur-provocateur s’est vu contraint au lendemain de sa déclaration.
Alors, en choisissant de « chasser » Lars Van Trier comme un malpropre du festival juste pour un « Oui j’aime » au lieu d’un « Non j’aime pas », le festival de Cannes ne s’érige-t-il pas en faiseur de conscience ?
Aimer ou ne pas aimer est un acte personnel et individuel pour lequel l’on n’a nullement besoin du conseil d’un tiers.
Hitler a été ce qu’il a été, il revient à chacun de se faire une opinion de l’homme et de se fixer une position. C’est un tueur de masse, certes ; cependant il a eu le courage et l’honnêteté de l’affirmer haut et fort ; de le défendre contre vents et marrées. Contrairement aux temps que nous vivons où les pires et iniques génocidaires travaillent à se faire passer pour les meilleurs protecteurs de vies humaines ; les meilleurs démocrates au monde…
Celui qui fait bombarder un hôpital ; un marché ou encore une fête de mariage n’est pas loin d’Hitler ni de BEN LADEN quelque soient ses raisons. Et les actes que monsieur Georges W. BUSH, ancien président des USA, a commis en Irak et partout dans le monde arabe lors de son mandat, méritent que le nom de cet homme dangereux pour l’espèce humaine soit inscrit au rang des hommes et des femmes dont la seule vision est de rayer les autres Hommes de la terre. En traçant son axe du mal, avait-il bien imaginé le nombre de million de gens qu’il étiquetait ainsi ? A mon sens, ne pas pouvoir parler Hitler en public, revient à ne plus dire Bush en public. Il en va de même pour bien d’autres dirigeants du monde.
Mais en réalité, le problème va au-delà des personnes, des noms Hitler et consorts ; il s’agit d’une interpellation de notre conscience collective et personnelle.
On peut aimer ou ne pas aimer Hitler, l’essentiel est de voir tous ceux qui nous dirigent aujourd’hui et qui, à base de différentes résolutions tronquées et sélectives des « nations-unies », obtenues à coup de marchandage et de ségrégation honteusement intéressée, attaquent et mettent en danger la vie de paisibles populations et la cohésion des nations en développement. Plus proche de moi, le pétrole Libyen attise tous les appétits voraces et gourmands du monde ; pour un oui ou pour un non, on a trouvé les arguties nécessaires pour s’emparer du pétrole. Viendra après le temps de la reconstruction où les chômeurs occidentaux et américains viendront s’occuper.
En Syrie et au Yémen, rien ne se passe. Pourtant, on déterre des cadavres attachés des fausses communes ; de gros engins de guerre sont dans les rue pour mater les manifestants mais jusque là, pas de résolution.
Ceux qui, au nom des intérêts de leurs chômeurs, de leurs firmes pétrolières ou cacaoyères, de leurs grosses entreprises, de leurs placements en bourse montent des résolutions bidons et fantoches juste pour distraire le monde et s’accaparer des ressources en terre africaine sont pire que Hitler.
Nous avons eu ; nous savons désormais qui il est. Il l’a dit à visage découvert sans calcul mercantile. Mais vous !Enfin qui êtes vous?
En cause, une seule phrase : « J’ai de la sympathie pour Hitler et le Nazisme».
C’est au cours d’une conférence de presse sur son film en compétition, MELANCHOLIA que le turbulent réalisateur, répondant à la question d’un des journalistes, a lâché le bout de phrase qui va finir par l’emporter tel un tsunami malgré « les excuses » auxquelles le créateur-provocateur s’est vu contraint au lendemain de sa déclaration.
Alors, en choisissant de « chasser » Lars Van Trier comme un malpropre du festival juste pour un « Oui j’aime » au lieu d’un « Non j’aime pas », le festival de Cannes ne s’érige-t-il pas en faiseur de conscience ?
Aimer ou ne pas aimer est un acte personnel et individuel pour lequel l’on n’a nullement besoin du conseil d’un tiers.
Hitler a été ce qu’il a été, il revient à chacun de se faire une opinion de l’homme et de se fixer une position. C’est un tueur de masse, certes ; cependant il a eu le courage et l’honnêteté de l’affirmer haut et fort ; de le défendre contre vents et marrées. Contrairement aux temps que nous vivons où les pires et iniques génocidaires travaillent à se faire passer pour les meilleurs protecteurs de vies humaines ; les meilleurs démocrates au monde…
Celui qui fait bombarder un hôpital ; un marché ou encore une fête de mariage n’est pas loin d’Hitler ni de BEN LADEN quelque soient ses raisons. Et les actes que monsieur Georges W. BUSH, ancien président des USA, a commis en Irak et partout dans le monde arabe lors de son mandat, méritent que le nom de cet homme dangereux pour l’espèce humaine soit inscrit au rang des hommes et des femmes dont la seule vision est de rayer les autres Hommes de la terre. En traçant son axe du mal, avait-il bien imaginé le nombre de million de gens qu’il étiquetait ainsi ? A mon sens, ne pas pouvoir parler Hitler en public, revient à ne plus dire Bush en public. Il en va de même pour bien d’autres dirigeants du monde.
Mais en réalité, le problème va au-delà des personnes, des noms Hitler et consorts ; il s’agit d’une interpellation de notre conscience collective et personnelle.
On peut aimer ou ne pas aimer Hitler, l’essentiel est de voir tous ceux qui nous dirigent aujourd’hui et qui, à base de différentes résolutions tronquées et sélectives des « nations-unies », obtenues à coup de marchandage et de ségrégation honteusement intéressée, attaquent et mettent en danger la vie de paisibles populations et la cohésion des nations en développement. Plus proche de moi, le pétrole Libyen attise tous les appétits voraces et gourmands du monde ; pour un oui ou pour un non, on a trouvé les arguties nécessaires pour s’emparer du pétrole. Viendra après le temps de la reconstruction où les chômeurs occidentaux et américains viendront s’occuper.
En Syrie et au Yémen, rien ne se passe. Pourtant, on déterre des cadavres attachés des fausses communes ; de gros engins de guerre sont dans les rue pour mater les manifestants mais jusque là, pas de résolution.
Ceux qui, au nom des intérêts de leurs chômeurs, de leurs firmes pétrolières ou cacaoyères, de leurs grosses entreprises, de leurs placements en bourse montent des résolutions bidons et fantoches juste pour distraire le monde et s’accaparer des ressources en terre africaine sont pire que Hitler.
Nous avons eu ; nous savons désormais qui il est. Il l’a dit à visage découvert sans calcul mercantile. Mais vous !Enfin qui êtes vous?