Bénin : Enfin fini les avions-stop pour le président de la république.
Mon pays vient après 49 ans d’indépendance de s’acheter son premier avion présidentiel. Afin, il parait que ce n’est qu’un vielle avion badigeonné et recyclé mais bon nous l’avons et il nous servira le temps qu’il pourra.
Ailleurs, des chefs d’état ont deux, trois, quatre voire dix avions présidentiels régulièrement entretenus. Si ce n’en qu’en 2009 que le gouvernement de mon pays a pu s’acquitter de cette dépense de souveraineté, ce symbole d’indépendance, c’est la preuve que nous sommes une nation très en retard mais il vaut mieux tard que jamais. Un avion présidentiel n’est pas un luxe, c’est un précieux instrument de travaille indispensable au développement de toute nation. Je me rappelle encore les heures sombres de l’histoire de ce pays où nos différents chefs d’état devraient faire de l’avion-stop pour tous leurs déplacements à défaut de les louer. On se souvient qu’un avion qu’avait loué le président Kérékou pour l’un de ses déplacements à l’étranger avait été immobilisé au sol durant plus de deux heures de temps pour raison de kérosène que le fournisseur aurait refusé de servir à crédit. Récemment encore, le Président Yayi Boni s’est retrouvé bloqué au sol parce que l’avion qu’il a loué pour la tournée qui devait le conduire en Turquie et en Europe a commencé à fumé de la cabine alors que tous les membres de la délégation étaient en place et prêts pour le décollage ; conséquence, la tournée présidentielle a été reportée à une date sine die.
L’acquisition de ce Boeing 727-200 remis aux normes VIP avec une capacité de 46 places, sa maintenance régulière et son approvisionnement en kérosène viennent donc combler un grand vide et remettre le Bénin au rang des états souverains sur le plan de sortie à l’étranger de leurs chefs d’état.
Mon pays vient après 49 ans d’indépendance de s’acheter son premier avion présidentiel. Afin, il parait que ce n’est qu’un vielle avion badigeonné et recyclé mais bon nous l’avons et il nous servira le temps qu’il pourra.
Ailleurs, des chefs d’état ont deux, trois, quatre voire dix avions présidentiels régulièrement entretenus. Si ce n’en qu’en 2009 que le gouvernement de mon pays a pu s’acquitter de cette dépense de souveraineté, ce symbole d’indépendance, c’est la preuve que nous sommes une nation très en retard mais il vaut mieux tard que jamais. Un avion présidentiel n’est pas un luxe, c’est un précieux instrument de travaille indispensable au développement de toute nation. Je me rappelle encore les heures sombres de l’histoire de ce pays où nos différents chefs d’état devraient faire de l’avion-stop pour tous leurs déplacements à défaut de les louer. On se souvient qu’un avion qu’avait loué le président Kérékou pour l’un de ses déplacements à l’étranger avait été immobilisé au sol durant plus de deux heures de temps pour raison de kérosène que le fournisseur aurait refusé de servir à crédit. Récemment encore, le Président Yayi Boni s’est retrouvé bloqué au sol parce que l’avion qu’il a loué pour la tournée qui devait le conduire en Turquie et en Europe a commencé à fumé de la cabine alors que tous les membres de la délégation étaient en place et prêts pour le décollage ; conséquence, la tournée présidentielle a été reportée à une date sine die.
L’acquisition de ce Boeing 727-200 remis aux normes VIP avec une capacité de 46 places, sa maintenance régulière et son approvisionnement en kérosène viennent donc combler un grand vide et remettre le Bénin au rang des états souverains sur le plan de sortie à l’étranger de leurs chefs d’état.
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